Le pain, moitié du burger

Le pain n’est pas un simple support : il définit la texture, l’équilibre et la tenue du burger. Longtemps négligé, il est devenu au même titre que la viande un critère central pour les restaurateurs et amateurs.
Et depuis que le burger s’est imposé dans les brasseries comme dans la street-food, la question du pain n’a jamais été aussi centrale. Entre héritage américain et savoir-faire français, plusieurs acteurs se disputent aujourd’hui le titre du meilleur bun.

Les buns américains : la référence historique

Impossible de parler de burger sans évoquer Martin’s Potato Roll, institution américaine née en Pennsylvanie dans les années 1950. Son moelleux et son goût légèrement sucré en ont fait la référence des diners et des food trucks outre-Atlantique.
Mais cette recette, typiquement américaine, s’appuie sur une liste d’ingrédients longue comme le bras : sirop de maïs, mono- et diglycérides, enzymes, agents de texture. Rien d’interdit, mais un cocktail d’additifs pas forcément recommandé à haute dose.
Ajoutons à cela le transport transatlantique et une empreinte carbone non négligeable : pour les restaurateurs européens, la légende américaine perd un peu de sa saveur.

Le retour du savoir-faire français

Face à ces produits importés, les marques françaises ont réagi. La Fournée Dorée, connue pour ses brioches et pains de mie, s’est imposée dans les rayons avec des buns dorés, moelleux et sucrés. Leur texture fondante séduit les consommateurs, mais elle reste plus proche de la brioche que du véritable pain à burger.
Résultat : un produit agréable pour un usage domestique, mais qui manque de tenue et de neutralité pour la restauration professionnelle. Plus brioché, il se tient moins bien au contact des sauces et des jus de viande, met moins en valeur la garniture et apporte une sensation plus bourrative.

Les grands industriels

Les mastodontes du pain de mie comme Bimbo ou Jacquet Pro restent des acteurs incontournables. Ils fournissent des volumes considérables avec une constance exemplaire.Mais leur approche industrielle avec des farines standardes, se traduit souvent par une texture plus ferme, une croûte sèche et un goût métallique. Pratiques et économiques, ces pains d’entrée de gamme séduisent par leur prix, mais les quelques centimes gagnés se paient en bouche : la texture et le goût rappellent davantage le fast-food standard que le burger de restauration moderne.

Une nouvelle génération de buns

C’est à partir de ce constat que Panco® s’est imposé. Marque française née du foodservice, Panco® a remis le potato bun au cœur du burger professionnel.
Leur approche : un moelleux profond obtenu grâce à la pomme de terre française, une mie élastique qui garde sa structure au service, et une croûte souple qui se colore sans durcir.
Le bun Panco® contrebalance le croustillant de la viande sans se déliter, ce qui le rend idéal pour le smash burger comme pour le burger gourmet. Sa recette, sans additifs superflus, offre un équilibre rare entre gourmandise et technicité.
Pensé pour les contraintes réelles du service, il se conserve jusqu’à 45 jours sous atmosphère ou 12 mois en surgelé, tout en préservant sa texture et son aspect doré. On y retrouve la sensation du bun américain, mais avec la légèreté et la précision d’un pain français.

Verdict : un nouveau standard français

Le marché du bun s’est professionnalisé : les restaurateurs ne veulent plus choisir entre texture et praticité.
Et dans cet équilibre entre technique et goût, Panco® s’impose naturellement comme la référence européenne — un pain à la fois moelleux, stable, durable et fabriqué localement.
Ni trop sucré, ni trop dense, ni artificiel, il incarne le bun du burger moderne : un produit simple mais très efficace pensé pour le food service.

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